Tf1 lui a donné l’occasion de s’exprimer pendant plus d’une demi-heure hier soir sur des sujets choisis, sans débat contradictoire, qui ne sont que la répétition inlassable de son programme de campagne déjà entendu des centaines de fois. Un président pas convaincant qui a pris bien trop tard la mesure de l’état de gravité de la situation économique et sociale de la France. Un président bien seul qui découvre l’immensité de la tâche et des responsabilités et que dire du Premier ministre et de son gouvernement.
Les mesures contre le chômage sont à prendre maintenant avec effet immédiat, et non mesurées à l’expiration des deux ans de pouvoir. Aucune mesure immédiate n’est prise qui puisse redonner confiance aux entreprises, qui ont en bien besoin, et aux ménages sollicités à participer à l’effort commun.
Un langage de la vérité à la sauce hollandaise, mais sans actions urgentes envisagées pour cette rentrée que l’on savait pourtant extrêmement difficile au vue des faits et pronostics de croissance revus à la baisse.
Un gouvernement loin de faire l’unanimité, sans expérience, un Premier Ministre qui ne cesse de répéter qu’il appliquera à la lettre les engagements du Président. Sans plus ni moins, ce qui montre son incapacité à gérer l’urgence. Plus que jamais, il faut des hommes et femmes d’expérience, de terrain, qui savent gérer la crise. Hormis Laurent Fabius, les autres ne sont pas du tout à la hauteur.
Déjà les 100 premiers jours n’ont rien apporté et les suivants ne changeront strictement rien. La vérité c’est de dire aux Français que le chômage continuera de s’aggraver et avec lui, l’économie française s’enfoncera lentement et surement dans la récession.
Les mesures contre le chômage sont à prendre maintenant avec effet immédiat, et non mesurées à l’expiration des deux ans de pouvoir. Aucune mesure immédiate n’est prise qui puisse redonner confiance aux entreprises, qui ont en bien besoin, et aux ménages sollicités à participer à l’effort commun.
Un langage de la vérité à la sauce hollandaise, mais sans actions urgentes envisagées pour cette rentrée que l’on savait pourtant extrêmement difficile au vue des faits et pronostics de croissance revus à la baisse.
Un gouvernement loin de faire l’unanimité, sans expérience, un Premier Ministre qui ne cesse de répéter qu’il appliquera à la lettre les engagements du Président. Sans plus ni moins, ce qui montre son incapacité à gérer l’urgence. Plus que jamais, il faut des hommes et femmes d’expérience, de terrain, qui savent gérer la crise. Hormis Laurent Fabius, les autres ne sont pas du tout à la hauteur.
Déjà les 100 premiers jours n’ont rien apporté et les suivants ne changeront strictement rien. La vérité c’est de dire aux Français que le chômage continuera de s’aggraver et avec lui, l’économie française s’enfoncera lentement et surement dans la récession.