Quelle leçon de vie, d'humilité, de courage et de sang froid les Japonnais ont-ils donné au monde entier ? Au-delà de leur souffrance, de leur malheur, ils ont su restés courageux, stoïques, braves, profondément humains.
Un rappel à nous tous, les hommes, que la vie sur cette terre est une offrande de la nature que nous devons respecter, vénérer et protéger. Qui mieux que les Japonais, troisième puissance économique mondiale, disposant de la plus forte densité de population au monde (nombre d'habitants au km2), savent combien il est nécessaire de protéger chaque moindre mètre carré !
L'art de vivre japonais est sans aucun doute largement inspiré de cette nature généreuse, si belle mais si fragile.
Un rappel à tous les hommes qui auraient oublié d'où ils viennent, qu'il est plus qu'urgent de réagir vite avant qu'il ne soit trop tard, lorsque l'homme aura disparu de cette belle planète, dont les premiers cosmonautes nous ont rapporté de si beaux récits.
Mais quand la terre se met à trembler, que des volcans crachent le feu sorti des entrailles des montagnes, que l'océan déroule une seule de ces vagues gigantesques venue s'abattre sur les côtes, que peut donc faire l'homme, sinon prier les Dieux pour espérer leur clémence ?
C'est alors le doute qui nous envahit, la méfiance aussi, quand nous nous interrogeons sur les causes naturelles de ces catastrophes dites 'naturelles', qui, statistiquement, semblent plus fréquentes aujourd'hui qu'hier à l'aune de l'existence de l'homme sur cette terre.
Tout au long du XXe siècle, nous avons assisté à une augmentation considérable des richesses liée à l'industrialisation, à l'exploitation intensive des ressources naturelles, mettant certains pays à l'abri de la misère, de la famine, de la guerre, des épidémies, on les a appelés pays industrialisés. Cette industrialisation poussée à son paroxysme, cette mondialisation et globalisation financières si chères aux pays riches car elles accentuent davantage encore le développement rapide au détriment du développement durable, qui lui seul permettrait aussi d'y associer les autres pays du monde, ne sont-elles pas en train de mettre en péril les grands équilibres naturelles ? Bon, certains diront, comme Jean Fourastié, que la nature "est une dure marâtre" qu'il convient d'apprivoiser ...
Il est aujourd'hui plus qu'urgent de repenser complètement et totalement, comment ces hommes responsables de ce développement économique et de ces conséquences, doivent agir pour ne pas menacer la nature, les espèces végétales et animales et l'espèce humaine et de ce qu'il en reste pour les plus pessimistes.
Les japonais vivent dans une région du globe où la nature peut être dangereuse. Pourtant, ils ont appris à y vivre, à s'y adapter sans cesse avec courage et ténacité même si parfois elle leur est hostile.
Mais en devenant une des grandes puissance économiques mondiales, avec les Américains, les Européens, les Japonais ont malheureusement aussi leur part de responsabilités dans ces désordres climatiques, ces déséquilibres qui menacent de partout, cette dégradation lente et inéluctable de la nature, auxquels viennent s'ajouter des désordres économiques et financiers.
Un rappel à nous tous, les hommes, que la vie sur cette terre est une offrande de la nature que nous devons respecter, vénérer et protéger. Qui mieux que les Japonais, troisième puissance économique mondiale, disposant de la plus forte densité de population au monde (nombre d'habitants au km2), savent combien il est nécessaire de protéger chaque moindre mètre carré !
L'art de vivre japonais est sans aucun doute largement inspiré de cette nature généreuse, si belle mais si fragile.
Un rappel à tous les hommes qui auraient oublié d'où ils viennent, qu'il est plus qu'urgent de réagir vite avant qu'il ne soit trop tard, lorsque l'homme aura disparu de cette belle planète, dont les premiers cosmonautes nous ont rapporté de si beaux récits.
Mais quand la terre se met à trembler, que des volcans crachent le feu sorti des entrailles des montagnes, que l'océan déroule une seule de ces vagues gigantesques venue s'abattre sur les côtes, que peut donc faire l'homme, sinon prier les Dieux pour espérer leur clémence ?
C'est alors le doute qui nous envahit, la méfiance aussi, quand nous nous interrogeons sur les causes naturelles de ces catastrophes dites 'naturelles', qui, statistiquement, semblent plus fréquentes aujourd'hui qu'hier à l'aune de l'existence de l'homme sur cette terre.
Tout au long du XXe siècle, nous avons assisté à une augmentation considérable des richesses liée à l'industrialisation, à l'exploitation intensive des ressources naturelles, mettant certains pays à l'abri de la misère, de la famine, de la guerre, des épidémies, on les a appelés pays industrialisés. Cette industrialisation poussée à son paroxysme, cette mondialisation et globalisation financières si chères aux pays riches car elles accentuent davantage encore le développement rapide au détriment du développement durable, qui lui seul permettrait aussi d'y associer les autres pays du monde, ne sont-elles pas en train de mettre en péril les grands équilibres naturelles ? Bon, certains diront, comme Jean Fourastié, que la nature "est une dure marâtre" qu'il convient d'apprivoiser ...
Il est aujourd'hui plus qu'urgent de repenser complètement et totalement, comment ces hommes responsables de ce développement économique et de ces conséquences, doivent agir pour ne pas menacer la nature, les espèces végétales et animales et l'espèce humaine et de ce qu'il en reste pour les plus pessimistes.
Les japonais vivent dans une région du globe où la nature peut être dangereuse. Pourtant, ils ont appris à y vivre, à s'y adapter sans cesse avec courage et ténacité même si parfois elle leur est hostile.
Mais en devenant une des grandes puissance économiques mondiales, avec les Américains, les Européens, les Japonais ont malheureusement aussi leur part de responsabilités dans ces désordres climatiques, ces déséquilibres qui menacent de partout, cette dégradation lente et inéluctable de la nature, auxquels viennent s'ajouter des désordres économiques et financiers.
Le monde du XXIe siècle est définitivement entré dans une ère nouvelle où un grand nombre de lois économiques et politiques qui nous gouvernaient au siècle précédent sont désormais caduques. Le chantier est grandiose, mais il est à la mesure de ce qu'il va falloir faire pour les générations à venir.